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Le climat ! le climat ! 

C’est le climat qui a été le parent pauvre du discours de François Bayrou. Dans une myriade d’urgences, l’écologie ne voyage pas en première classe. Grave erreur, estime Claude Sérillon. Notre environnement devrait être l’alpha et l’oméga de nos préoccupations. La mémoire courte des peuples a déjà oublié ce que, depuis plus d’une dizaine d’années, les scientifique martelaient : « ce n’est pas la terre qu’on est en train de faire disparaitre, c’est la race humaine ». Les Californiens en ont, en ce moment, un avant-goût amer.

Vox populi, pas forcément vox Dei

Il y a une dizaine d’années, l’humoriste et comédien, Kad Merad et son complice Olivier Barroux, avaient créé le personnage de « Jean-Michel Àpeuprès ». Incapable de finir ce qu’il avait commencé, toujours à contre-temps, il était le symbole du loser qui fait toujours le mauvais choix. Pressé par le temps ou absence de vision ? Qu’importe, #Patrick Boyer fait le  triste constat d’un florilège de plantades de la part des gouvernants les plus importants au monde… Et des peuples qui les ont choisis !

La démocratie américaine, du Capitole à la Roche Tarpéienne

Au sortir d’un meeting de Donald Trump devant la Maison Blanche, le 6 janvier 2021, pour dénoncer le “vol” dont il a été victime lors de l’élection présidentielle de novembre 2020, un bon millier de personnes prennent d’assaut le bâtiment où le Congrès des Etats-Unis s’apprête à confirmer la victoire de Joe Biden. Gilles Sengès qui a suivi la politique américaine, ces dix dernières années, pour le compte de L’Opinion, rappelle l’ampleur de cet événement considéré par beaucoup comme une quasi-tentative de coup d’Etat. 

Trump 1-Trump 2, écoutez la déférence

Contrairement à la première fois, en 2017, Donald Trump va arriver à la Maison Blanche avec une équipe à sa main. Et un boulevard devant lui.  Surpris par sa victoire à l’élection présidentielle de 2016, Donald Trump avait dû composer son administration en s’appuyant sur un parti républicain encore modéré. Le 20 janvier prochain, il arrivera à la Maison Blanche avec un gouvernement, un Congrès et une Cour Suprême totalement acquis à sa cause. Gilles Sengès qui a suivi la politique américaine ces dix dernières années pour le compte de L’Opinion revient sur cette mutation. 

L’Histoire rendra justice à la présidence Biden

JJoe Biden, sous la pression d’une partie de ses « amis » inquiets de sa capacité à résister aux assauts d’un taureau, à la brutalité sans pareille, décide de jeter l’éponge. Comme toujours en ces circonstances, s’abat d’abord une pluie de compliments, de souvenirs émus et autres éloges. Puis vient rapidement le contraire de l’amour : l’indifférence. S’il a fait perdre un temps précieux à l’équipe de Kamala Harris , pour autant, était-ce une raison pour ignorer son bilan ? Ancien correspondant aux États-Unis, Gilles Sengès a suivi la politique américaine ces dix dernières années pour le compte de L’Opinion. Il revient sur les succès de Biden. *

Quelques petites erreurs à ne pas commettre dans l’interprétation de la victoire de Donald Trump

Comme le pire n’est jamais sûr, il nous fallait terminer cette série « Spéciale élections USA » par la conviction que notre destin n’appartient pas aux autres. Spécialiste de l’opinion publique, enseignant à Paris 1 Sorbonne et à Sciences Po. Emmanuel Rivière voit, au bout du compte, plusieurs enseignements. Le plus essentiel étant de terminer ce que Trump « number one » a commencé sans même s’en rendre compte : provoquer une réelle unification de l’Union Européenne. Souhaitons que, de la part de nos gouvernants, ce ne soit pas qu’un vœu pieux.

La presse française et la valse des titres 

Comme un promeneur solitaire qui, çà et là, s’arrête devant un arbre, une fleur ou examine un champignon encore lové dans sa couverture de mousse, Jean Brousse s’est promené à travers notre presse, nationale et régionale, après la victoire de Donald Trump. Prises individuellement, les publications de nos confrères n’ont rien que de très habituel. Mais la vision d’ensemble offre une autre image. Celle d’oiseaux qui, dans un ensemble parfait, repartent à tire d’aile, à l’opposé de leur course. Comme désorientés quand se présente un intrus.

L’affrontement sino-américain et la présidence Trump 2.0 

Basé à Tokyo, mais également franco-américain, et diplômé d’Harvard, Robert Dujarric est un fin connaisseur de la géopolitique Asie-Pacifique et de la politique américaine en général. Passé notre choc de la réélection de Trump, il tente de relativiser la déception générale dans une grande partie du monde. En Europe plus particulièrement. Et en France au premier chef. Pour paraphraser Platon, à voir les propos belliqueux de Trump, nous nous inquiétons. À lire les propos pleins de bon sens de Robert Dujarric, nous nous consolons. 

Politique CircUS, Attention danger !

Outrance sans conscience n’est que ruine du peuple. C’est ainsi, qu’en paraphrasant Rabelais, on pourrait intituler le véritable cri d’alarme du journaliste – et ancien rédacteur en chef de France Inter – Patrick Boyer. Dans cette première tribune pour Sans doute, il met en parallèle deux hystéries : de droite et de gauche qui, comme c’est souvent le cas, finissent par se rejoindre dans un totalitarisme que les peuples, avides de « renverser la table », n’ont pas vu venir. Oubliant qu’une matraque, qu’elle soit de droite ou de gauche, reste une matraque.

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