Obnubilés depuis trois décennies par des produits payés à vil prix, puisque fabriqués à l’autre bout du monde, dans des conditions que nous préférions ignorer, les pays européens en payent aujourd’hui le prix. Une prise de conscience tardive : ce qui reste de notre industrie est en danger. Mais une situation qui n’est pas rédhibitoire, au regard de l’épargne disponible, comme le souligne Catherine Malaval. Historienne, elle préside également le réseau « Femmes Business Angel ».
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