Pour Socrate, c’est la Vertu et la Connaissance. Pour Aristote, c’est l’activité de l’Âme. Pour Épicure, c’est la recherche du Plaisir. Pour Nietzsche, c’est la force vitale… À chacun sa vision. Il faut donc beaucoup de courage pour s’attaquer à ce mot de bonheur qui nous échappe toujours quand on croit le saisir. Professeur à l’Université Paris-Sorbonne et à l’École d’Économie de Paris, l’économiste Claudia Senik, revient sur les travaux d’un de ses célèbres confrères américains sur le lien entre croissance économique et bonheur. Passionnant !
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