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Joe Biden, sous la pression d'une partie de ses "amis" inquiets de sa capacité à résister aux assauts d'un taureau, à la brutalité sans pareille, décide de jeter l'éponge. Comme toujours en ces circonstances, s'abat d'abord une pluie de compliments, de souvenirs émus et autres éloges. Puis vient rapidement le contraire de l'amour : l'indifférence. S'il a fait perdre un temps précieux à l'équipe de Kamala Harris , pour autant, était-ce une raison pour ignorer son bilan ? Ancien correspondant aux États-Unis, Gilles Sengès a suivi la politique américaine ces dix dernières années pour le compte de L’Opinion. Il revient sur les succès de Biden. *
Le 46ème président des Etats-Unis laisse un pays en pleine forme économique
Lame duck president”. Les Américains ont une formule imagée pour définir le statut de leurs présidents en fin de mandat. Joe Biden est la parfaite illustration du “canard boiteux”. A deux mois du retour en force de Donald Trump à la Maison Blanche, qui se soucie, aujourd’hui, de ses faits et gestes? Il participait, le week-end dernier, au Pérou, au forum de coopération économique Asie-Pacifique (APEC) où il a rencontré son homologue Xi Jinping. En ce début de semaine, il était présent au sommet des pays du G20, à Rio. Avec à chaque fois, l’ombre de son successeur planant sur ses faits et gestes ainsi que sur ses interlocuteurs...
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