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Alors que je m'assieds pour rédiger cette chronique, mon nouveau téléphone tout neuf et tout lisse, encore plein de sons inconnus et de surprises, m'envoie spontanément une photo.
On m'y voit un de ces hivers derniers, sur une étendue immaculée, les skis au pied, avec mon frère. Nous faisons tous les deux un large sourire. Le ciel est bleu, strié de filaments pâles. « Merveilles du ciel immense » titre mon téléphone (un algorithme). Cette tentative poétique me fait tiquer. Il est un poil déplaisant de voir un de mes clichés commenté par une instance que je n'ai pas sonnée. De quoi je me mêle, qu'est-ce qui lui arrive à cette machine ?
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