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Face aux difficultés que continue de rencontrer aujourd’hui l’école, une note de la Fondation Jean Jaurès1 propose quatre priorités sur lesquelles devrait s’entendre la représentation nationale malgré les divergences politiques.
Lors de la passation de pouvoir avec le nouveau Premier ministre Michel Barnier, Gabriel Attal a invité son successeur à maintenir l’école au rang des « priorités ».
Il est vrai que l’ex-ministre de l’Éducation nationale avait repris la marche en avant des réformes initiées dès 2017 par Jean-Michel Blanquer (dédoublement des petites classes en REP et REP+, « devoirs faits » au collège, la réforme du Bac, les grands plans de formation « mathématiques » et « français » entre autres) avec la volonté affichée de faire progresser les élèves français dont les résultats reculaient dans les enquêtes internationales PISA ou PIRLS. Recul encore plus marqué chez les élèves les plus faibles, le plus souvent issus des quartiers populaires. C’était notamment l’idée des « groupes de niveau » au collège, en français et mathématiques, devenus les « groupes de besoin » qui rencontra une sévère opposition du monde enseignant, criant au « tri social » et à la discrimination.
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