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Le 25 mars, à l’Assemblée nationale, la ministre Aurore Bergé s’est gravement exprimée sur l’antisémitisme ; affirmant que « l’antisémitisme en France, aujourd’hui, ce sont deux chiffres et trois lettres ; deux chiffres : 1570 actes antisémites en 2024 […] et trois lettres : LFI ».
Le tollé alors provoqué dit le refus de cette gauche de regarder la réalité en face. Et pour cause, cette gauche se défend de tout antisémitisme, jouant sur les mots, malgré les insinuations, les « dog whistle » (propos anodins que ne comprennent que les initiés), les accusations à l’emporte-pièce, les caricatures les plus crasses, qui entraînent la mise en danger des Français juifs.
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