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La convention démocrate 2024, par le caractère inédit de ce début de campagne, a piqué la curiosité d’un grand nombre de citoyens dans le monde.
Cinq leçons à l’usage de la politique française
“When a house is on fire, we don’t ask whose house it is” (Oprah Winfrey (« Lorsqu’une maison est en feu, nous ne demandons pas à qui elle appartient »).
Il est des temps forts que certaines personnalités politiques savent ériger en moments inoubliables. C’est ce qu’a offert la Convention démocrate qui s’est déroulée à Chicago il y a quelques semaines.
Alors que la convention républicaine de Milwaukee en juillet s'est révélée étonnamment terne, la convention démocrate a brillé par son dynamisme et son côté « showmen ». La première, dominée par la présence écrasante de Donald Trump, a offert peu d'espace aux autres voix du parti et s'est caractérisée par un ton globalement sombre et alarmiste. Épuisement du leader qui n’a plus la fougue de 2016 ou de stratégie politique. Le candidat républicain avait su haranguer les foules plus efficacement. Il avait su mélanger stars de télé-réalité, mères de soldats défunts et responsables politiques. S’arrogeant ainsi 70% des voix avec une participation en hausse de 67,8% par rapport à 2012.
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