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Culture

La rentrée littéraire est au carnage… 

Pour les amoureux de littérature, on a tendance à magnifier la dimension solitaire, voire rebelle de chaque auteur. Passer d’une ambiance à l’autre, d’une injustice à une rédemption, de la description d’un paysage à celle de personnages… En somme, chacun aurait sa route et à nous de savoir avec qui l’on veut cheminer. Mais il n’est pas dans l’esprit commun que la littérature suive une mode, comme le ferait le prêt-à-porter, la cuisine ou la coiffure. Aujourd’hui, après l’autofiction petite-bourgeoise, un retour vers la littérature de carnage, comme le souligne l’écrivain, et membre du Conseil d’État, Camille Pascal. 

Faut-il supprimer le pass Culture ?

Sur le papier, l’idée d’une somme d’argent dédiée aux jeunes pour des produits culturels, est louable. Mais, comme souvent, inscrire une initiative politique en dehors de tout contexte des mécanismes de reproduction sociale est rarement couronné de succès. Au-delà du montant, il y a aussi l’exemple qu’on donne aux Français. Bref, pour Fabrice Baumgartner cette expérience est, hélas, un coup pour rien.

La musique, au cœur du progrès de l’humanité

Invitée dans un important colloque sur le thème du progrès, Cécile Rap-Veber revient sur la place prépondérante que représente la musique. La manière dont elle a façonné l’esprit humain dans de nombreuses composantes de son esprit ; lui permettant de grandir au fils des siècles et des époques. Sans elle, le monde serait bancal.

Faut-il vraiment un service public de l’audiovisuel ?

Comme régulièrement, le service public de l’Audiovisuel français est l’une des cibles préférées des lobbys et des politiques en mal de publicité. Être un service public au milieu d’un océan de chaînes privées est toujours source d’ambiguïté, de tentations pour instrumentaliser ou détruire, en fonction des opinions et – surtout – des intérêts. Dans cette « jungle », Philippe Bailly tente de démêler l’écheveau des contradictions.

Âmes sensibles s’abstenir…

Tout a commencé lors de la précédente rentrée littéraire. Dès l’été, le livre d’un jeune écrivain québécois répondant au nom de Kévin Lambert, après avoir été humé par les fameux « nez » littéraires qui flairent les futurs prix d’automne, déclenche soudain la polémique.

Lettre à mes non-cousins

Malgré ce que prétendent quelques commentateurs québécois installés dans les médias de droite français, nous ne sommes pas vos cousins. C’est de leur part un réflexe de colonisés, de minoritaires que de se réclamer d’une parenté sous prétexte que nous partageons la même langue.

Différence de… statues

Quoi qu’il en soit, Voltaire a donc été courageusement exfiltré de la capitale, avec la bénédiction des autorités municipales et nationales, comme un simple étudiant de Sciences Po qui aurait refusé de s’incliner devant une procession des partisans du Hamas.

Taper dans la rétine

Le rapport à l’écriture serait-il, au bout du compte, qu’une agréable souffrance ? Pour son dernier ouvrage, Noëlle Revaz décrit ici la valse folle entre les mots qui s’échappent parfois et la laisse seule. Parfois reviennent pour se lover au creux de sa pensée.

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