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La volonté du président américain de faire de leur pays le 51ème Etat des Etats-Unis, provoque une levée de boucliers chez les Canadiens. Être mêlé de près ou de loin à l’hôte de la Maison Blanche suscite un fort rejet dans l’opinion publique. Longtemps donné favori pour décrocher le poste de Premier ministre, le leader du parti conservateur canadien, surnommé “le petit Trump” pourrait en être l’une des victimes à l’occasion des prochaines élections générales.
Avec un ami comme ça… Plus encore que ses compatriotes canadiens, Pierre Poilièvre doit se demander quelle mouche a bien pu piquer Donald Trump avec sa volonté d’annexer le pays pour en faire le 51ème Etat des Etats-Unis, menace d’une hausse de 25% des droits de douane à l’appui. Le très populiste leader du parti conservateur qui partage nombre d’idées avec le président américain au point d’avoir été surnommé “le petit Trump” pourrait, en effet, payer cher la dernière lubie du nouvel occupant de la Maison Blanche. Le rejet de l’opinion publique à un tel projet -90% des personnes interrogées sont opposées à un rapprochement avec le grand voisin américain- pourrait, en effet, coûter le poste de Premier ministre du Canada promis, jusque-là, à Pierre Poilièvre à l’issue des élections générales, prévues au plus tard en octobre.
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