Que c’est simple… Que c’est facile de juger quand nous ne sommes pas partie prenante. Dans son canapé, dans un déjeuner dominical, à l’entrée d’un tribunal, vociférant des anathèmes ?… Et comme c’est difficile de faire admettre le DROIT quand celui-ci n’est pas là pour vous faire plaisir ! Si l’avocate Michelle Dayan défend les familles, ce n’est jamais en attisant la haine du coupable. C’est en permettant à la Cour de juger dans la plus complète et noble acception du terme.
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