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Quel est le plus loup des deux ?

Comme le suggère le proverbe : « l’homme est un loup pour l’homme », nous y reviendrons. Peut-être, mais en attendant, l’homme reste, par nos contrées… un homme pour le loup. Parmi les « unes » de notre quotidien régional préféré, la Montagne, et malgré les tremblements géopolitiques du moment, rien de bien spectaculaire cette semaine.  Mais significatif des préoccupations…

Quelle étrange semaine !

Le dernier vendredi de février, nous assistions, stupéfaits, retransmise en mondovision, à l’incroyable altercation entre Volodymyr Zelinsky et Donald Trump accompagné de son aboyeur en chef, J.D. Vance, manifestement agacé par la tenue vestimentaire de son visiteur. Patatras, les grands de ce monde interloqués réagissaient aussitôt au coup de tonnerre brutal et inattendu – encore que ! – provoqué dans le bureau ovale de la Maison Blanche par le Président américain, décidément imprévisible – deuxième encore que !-.

Oupette était fin prête 

Jean Brousse ne pouvait pas rater ce rendez-vous du Salon de l’Agriculture. Notre poète des collines et des plaines, des fêtes au village et des rencontres au foirail, n’a pas attendu pour se promener entre les régions et les stands d’une ruralité qu’il ne se lasse pas de contempler. Et puis Oupette ne pouvait le laisser insensible. Une Limousine, pensez-vous ! Même venue de Poitiers, elle n’est jamais loin d’Uzerche et de ses contreforts.

Paris la belle, mais encore la rebelle ?

La traversée de Paris est-elle encore ce qu’elle était : une fête qui enivrait les cœurs des Parisiens et des étrangers ? La magie olympique, les soirées dans la douceur d’août d’un peuple émerveillé par ce qu’il était en train d’accomplir et une vasque, symbole de son savoir-faire auront-elles suffi ? Pas si sûr. Seul notre ami Jean Brousse, qui a suivi ce promeneur d’un jour, le sait peut-être. 

Rugby, famille et Farcidures 

Un soleil blanc, dur et froid illumine en ce matin de janvier le ciel bleu clair qui découpe la colline du puy Pinçon. Elle reste le dernier décor du mythique stade Alexandre Cueille, depuis qu’on a, pour d’inévitables raisons de sécurité, principe de précaution oblige, coupé la haie grandiose de grands sapins qui avait inspiré le regretté Antoine Blondin. 

Le résultat résulte …

« Un poète est un monde enfermé dans un homme », Victor Hugo. Où que porte son regard, quel que soit l’événement qui accapare son attention, en dépit de ses propres convictions, un poète fait sien ce qu’énonce le grand écrivain. Notre cher Jean Brousse ne fait pas exception à la règle. Il propose une version poétique de notre actualité. Un regard libre de toutes contingences. Avec, pour seul parti-pris, ses chères collines corréziennes. Y compris quand il s’agit d’évoquer ce début d’année politique, pas vraiment des plus rassurantes…

L’amour est-il encore dans le pré ?… 

Les échos de la grogne résurgente – et sans doute légitime – des agriculteurs, réveillée au tout début de novembre, ont été étouffés par la pagaille de la discussion budgétaire qui a atteint son paroxysme avec la dissolution du gouvernement, le quatre décembre dernier.  L’inquiétante incertitude gouvernementale, les protestations concurrentes des cheminots, des maires et des collectivités territoriales comme les caprices d’une météo tout aussi imprévisible qui tapit les bruits sous une légère couche de neige bien inattendue. 

Petit salon deviendra grand

“Vendredi 8 novembre, 8h41, gare d’Austerlitz, voie 7. Quelques trois cent cinquante à quatre cents écrivains embarquent avec leurs éditeurs, leurs attachés de presse et quelques journalistes dans le train mythique – le fameux « train du cholestérol – de la Foire du livre de Brive la Gaillarde qui chaque année commence ici, place Vallubert”. 

Pour Jean Brousse, notre poète corrézien, c’est ainsi que commence, chaque année, le “Salon du Livre” de Brive-la-Gaillarde. Moment magique où l’intelligence et la bonne humeur se tombent dans les bras. Un salon qui, d’année en année grandi et a dépassé, cette année, le million d’euros de chiffre d’affaires.

La presse française et la valse des titres 

Comme un promeneur solitaire qui, çà et là, s’arrête devant un arbre, une fleur ou examine un champignon encore lové dans sa couverture de mousse, Jean Brousse s’est promené à travers notre presse, nationale et régionale, après la victoire de Donald Trump. Prises individuellement, les publications de nos confrères n’ont rien que de très habituel. Mais la vision d’ensemble offre une autre image. Celle d’oiseaux qui, dans un ensemble parfait, repartent à tire d’aile, à l’opposé de leur course. Comme désorientés quand se présente un intrus.

Un Tour de France 2025 à la maison 

Mardi dernier, Christian Prudhomme, le patron du Tour de France dévoilait, avec Marion Rousse, directrice du Tour féminin, les parcours de la prochaine édition du Tour de France, du 5 au 27 juillet pour les garçons – le 112è de l’histoire -, et du 27 juillet au 3 août pour les filles. Jean Brousse, qui a nos territoires au cœur, a tout de suite remarqué que la « Grande Boucle » allait, cette fois, magnifier nos terroirs. Et la France toute entière.

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