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La rentrée littéraire est au carnage… 

Pour les amoureux de littérature, on a tendance à magnifier la dimension solitaire, voire rebelle de chaque auteur. Passer d’une ambiance à l’autre, d’une injustice à une rédemption, de la description d’un paysage à celle de personnages… En somme, chacun aurait sa route et à nous de savoir avec qui l’on veut cheminer. Mais il n’est pas dans l’esprit commun que la littérature suive une mode, comme le ferait le prêt-à-porter, la cuisine ou la coiffure. Aujourd’hui, après l’autofiction petite-bourgeoise, un retour vers la littérature de carnage, comme le souligne l’écrivain, et membre du Conseil d’État, Camille Pascal. 

Âmes sensibles s’abstenir…

Tout a commencé lors de la précédente rentrée littéraire. Dès l’été, le livre d’un jeune écrivain québécois répondant au nom de Kévin Lambert, après avoir été humé par les fameux « nez » littéraires qui flairent les futurs prix d’automne, déclenche soudain la polémique.

Différence de… statues

Quoi qu’il en soit, Voltaire a donc été courageusement exfiltré de la capitale, avec la bénédiction des autorités municipales et nationales, comme un simple étudiant de Sciences Po qui aurait refusé de s’incliner devant une procession des partisans du Hamas.

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