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Et si, dans le conflit israélo-palestinien, les Occidentaux faisaient fausse route ?... Si nous arrêtions d'exhorter les bonnes âmes à séparer les protagonistes ?... Si, pour des raisons différentes, mais tout aussi cyniques, ils voulaient continuer ?... Non sans humour, le géo-politologue Robert Dujarric donne ici l’exemple de l’Irlande du Nord. Sous le joug de leur religions respectives, les belligérants ont quand même fini par trouver une voie étroite vers un chemin de paix. Et qui tient.
Comme cela est devenu la norme après chaque poussée de fièvre dans la région, les éditorialistes et commentateurs implorent la "communauté internationale," en particulier les États-Unis, mais aussi l'UE, les pays européens, les familles pétrolières (saoudiennes, etc.…) à œuvrer pour mettre fin au conflit. Pour certains, c'est à Washington d'imposer la paix, pour d'autres à Ryad de la financer, ou à Bruxelles d'agir. Un fait semble évident : c'est de l'extérieur du Moyen-Orient que viendra la paix pour les populations de la région.
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